Nous informons, nous communiquons
Nous informons, nous communiquons

Tomber de rideau sur la Conférence des Parties (COP24) en Pologne : La Banque africaine de développement plus que jamais résolue à  poursuivre la lutte contre le changement climatique en Afrique

Si la COP24 (www.COP24afdb.org), le sommet mondial annuel sur le climat, fermait officiellement ses portes vendredi 14 décembre 2018, à Katowice, en

Si la COP24 (www.COP24afdb.org), le sommet mondial annuel sur le climat, fermait officiellement ses portes vendredi 14 décembre 2018, à Katowice, en Pologne, les négociations se sont poursuivies durant le week end, faute d'agrément quant aux modalités concrètes de l'application de l'Accord de Paris (https://bit.ly/2zq3VQA) dès 2020 – qui vise à limiter le réchauffement à 2°C, voire 1,5°C, par rapport au niveau pré-industriel – par les 197 parties signataires.

Négociations serrées: des avancées timides, des négociateurs africains déterminés

Depuis deux ans, les 50 pays africains qui ont ratifié l'Accord de Paris­mettaient l'accent sur la nécessité de bâtir un cadre concret et transparent pour la finance climatique. Aussi, les négociateurs africains – dont l'AGN qui bénéficie de l'appui de la Banque(https://bit.ly/2EBGRkS) –, ont-ils négocié pied à pied, pour amener les pays développés, grands responsables du changement climatique, à tenir leurs engagements notamment. Ceux-ci doivent aider ceux-là à mener leur transition écologique –une solidarité scellée dans l'Accord de Paris, conclu en décembre2015.

La Banque fidèle à son rôle de porte-parole de l'Afrique et de chef de file

La Banque africaine de développement, durant les deux semaines qu'a duré l'événement, a assumé son rôle: celui de premier défenseur des intérêts de l'Afrique et un soutien sans faille aux négociateurs africains; celui de porte-parole des intérêts de l'Afrique, outre celui de diffuseur de connaissances, d'expérience et d'expertise. Ce, grâce aux quelques cinquante table-rondes et conférences organisées en son Pavillon (https://bit.ly/2rKT4Lw), riches de l'intervention et des vues partagées par la trentaine d'experts divers que la Banque a dépêchés sur place pour traiter de la lutte contre le changement climatique dans tous ses volets et les différents secteurs concernés: eau et assainissement (https://bit.ly/2QD8tMM), agriculture et forêts (https://bit.ly/2EBFJxE), transports et urbanisation (https://bit.ly/2Bxy3Z4),dimension de genre et parité hommes-femmes,rôle de la société civile, rôle du secteur privé (https://bit.ly/2R9zF54), météorologie et technologies (https://bit.ly/2R1WGHf) ad hoc, énergies renouvelables (https://bit.ly/2rKTSQy), mise en œuvre des Contributions déterminées au niveau national (https://bit.ly/2rKxN4E)…

Chaque jour, du 3 au 14 décembre 2018, ce sont près de 200 personnes en moyenne qui sont venues assister aux événements organisés par la Banque (https://bit.ly/2SHF5kS) –seule ou en collaboration avec d'autres partenaires. La Banque avait ouvert la COP24 sur la Journée de l'Afrique (https://bit.ly/2Gr9Ycf), organisée en collaboration avec l'Union africaine, la Commission économique pour l'Afrique de l'ONU et le NEPAD. Et elle a fermé les portes de son Pavillon, au dernier jour du sommet, sur un événement également symbolique: un débat qui a réuni de jeunes leaders, du continent et d'ailleurs, journalistes, experts et militants, tous acteurs de la lutte contre le changement climatique.

La Banque est plus que jamais résolue à poursuivre son travail de lutte contre le changement climatique en Afrique et son œuvre de plaidoyer pour en défendre les intérêts.

Lutter contre le changement climatique: ne surtout pas renoncer

«Nous voyons des femmes qui perdent leurs moyens de subsistance, nous voyons des enfants affamés, des communautés complètement réduites à néant par les tornades et les ouragans. C'est cela qui nous motive, qui est notre moteur, qui fait que nous allons redoubler d'efforts pour veiller à minimiser les effets néfastes du changement climatique sur nos communautés», ainsi déclaré ainsi Anthony Nyong, directeur du Département changement climatique et croissance verteà la Banque, à la fin de la COP24. Et d'ajouter: «Nous continuerons de travailler avec ceux qui sont conscients de l'urgence et de la nécessité de répondre aux défis de l'Afrique, et c'est ce sur quoi nous allons nous concentrer. Afin de fournir au continent africain les ressources dont il a besoin, pour que le changement climatique ne réduise pas à néant les quelques progrès qu'il a réalisés. Nous voulons continuer à faire fructifier les acquis, et non pas en enregistrer de nouveaux, pour ensuite les voir détruits.»

Car l'urgence est là… Si la décision finale de la COP «insiste sur l'urgence d'une ambition accrue», elle ne précise aucun calendrier – ce qui n'est pas de meilleure augure pour les pays en développement en général, ni pour les pays africains en particulier, parmi les plus affectés au monde par les effets du changement climatique (https://bit.ly/2EwVk0F).

Rendez-vous est donc pris pour la COP25, qui se tiendra au Chili.

Pour la Banque africaine de développement, la «lutte» se poursuit et elle est résolue à rester sur la ligne de front. Toujours pour défendre les intérêts de ses 54 États membres et de leurs populations.


Distribué par APO Group pour African Development Bank Group (AfDB).
Contact de presse : Faïza Ghozali Responsable de la communication pour la Banque africaine de développement à la COP24 Département de la communication et des relations extérieures E : f.ghozali@afdb.org Sonia Borrini Chargée de communication et spécialiste de la gestion des connaissances Département changement climatique et croissance verte E : s.borrini@afdb.org Pour de plus amples informations, rendez-vous sur notre site web dédié : www.COP24afdb.org Et suivez-nous sur les réseaux sociaux : Twitter : https://bit.ly/2QBC9d2 Facebook : https://bit.ly/1PytUa6 Instagram : https://bit.ly/2QAQqXz LinkedIn : https://bit.ly/2GsCcU0 À propos du Groupe de la Banque africaine de développement : Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (www.AfDB.org) est la première institution de financement du développement en Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). Présente sur le terrain dans 37 pays africains et dotée d'un bureau extérieur au Japon, la BAD contribue au développement économique et au progrès social de ses 54 États membres régionaux. Pour plus d'informations : www.AfDB.org

Les Tops Populaires


Aujourd'hui
Dernier 7 jours
Dernier 30 jours
Copyright 2024 © inf-communication.com. Tous droits réservés.
Pense Web - Commerce en ligne