Depuis longtemps Malpass défend les politiques en faveur de la croissance.

Dans ce nouveau rôle, il œuvrera pour une croissance largement partagée dans les pays qui en ont le plus besoin. Il s'attache avant tout à créer et à développer une classe moyenne forte dans les économies émergentes. Il a défendu le rôle des femmes entrepreneurs surtout dans les positions de leadership, et il est aussi l'initiateur du premier round de financement de l'Initiative de financement des femmes entrepreneurs, WeFi.

Une de sa priorité est l'encouragement des pays en voie de développement à adopter les meilleures pratiques pour parvenir à une croissance menée par le secteur privé : systèmes fiscaux compétitifs, monnaies stables et conditions propices à l'innovation et à l'investissement.

Dans ce poste, Malpass succède à Jim Yong Kim, qui a démissionné le 1er février 2019. Outre ses responsabilités à la Banque mondiale, Malpass supervise l'engagement du Département American du Trésor au sein du G7, G20, OCDE, du Club de Paris, et divers dialogues économiques bilatéraux. La carrière de David Malpass inclut notamment l'amélioration des institutions multilatérales, telles que la Banque mondiale, au cours de son service au sein de l'administration Reagan. Il continue de plaider pour des opérations de la Banque mondiale qui sont de haute qualité et qui respectent les contextes environnementaux et sociaux.

Alors que nous nous préparons à la crise mondiale à venir et aux négociations géopolitiques, il semble que le moment soit opportun d'amener à la tête de la Banque Mondiale quelqu'un avec 30 ans d'expérience en tant qu'expert en économie mondiale.

Sa priorité sera la croissance économique et la hausse du niveau de vie dans les pays à faible revenu. Les voies pour cela réaliser sont:

Mesurer le succès en améliorant le revenu médian et en définissant mieux la voie vers le progrès. Favoriser la transparence de la dette pour développer des prêts durables et axés sur la croissance Encourager les pays en voie de développement à adopter les meilleures pratiques pour parvenir à une croissance menée par le secteur privé. Cela comprend des systèmes fiscaux concurrentiels, des monnaies stables et la création des conditions propices à l'innovation et à l'investissement
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